Top Albums 2023 : Partie 2 / 10

Suite de mon top albums préférés de l’année 2023, en commençant cette fois-ci par le 90ᵉ et en remontant jusqu’à la 81ᵉ position de mon top.

👉️ Pour lire la première partie, rendez-vous ici :  https://boulinosaure.com/2023/12/28/les-meilleurs-albums-de-lannee-2023-partie-1-10/

Bien évidemment, vous trouverez des liens pour écouter ces albums sur toutes vos plateformes préférées, ainsi qu’au moins une vidéo ou playlist de l’album.

☕ Allez, encore un petit café et je me lance dans cette nouvelle sélection !

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90 — Hyro The Hero – Bound For Glory

J’attendais pas mal ce « Bound For Glory » de Hyro The Hero. Intense et fluide, mélangeant rap rock / metal avec une touche fraîche, il aborde des thèmes comme la santé mentale et les faiblesses de l’ère numérique avec une énergie assez brute et simple. L’album, qui inclut des collaborations avec des artistes comme Chad Gray, offre une fusion de rapmetal de qualité. Les clins d’œil a certains groupes de la même mouvance sont nombreux et font quelques fois légèrement sourire, « Renegade Of Punk » étant un hommage totalement assumé à Afrika Bambaataa & Soulsonic Force (et également à RATM, vous suivez toujours ?) . Néanmoins, l’album est un rappel puissant de ne jamais abandonner, donc on ne lâche rien et on écoute.

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89 — Asking Alexandria – Where Do We Go From Here?

Asking Alexandria revient en force avec leur nouvel opus, ‘Where Do We Go From Here?’. Évitant les clichés, il navigue entre metalcore intense et arrangements mélodiques subtils. ‘Bad Blood’, le morceau d’ouverture, mixe habilement beats rapides et mélodies entraînantes. La production de Matt Good sonne juste, donne vraiment une profondeur inattendue sur certains titres. Je ne suis pourtant pas le premier client de Asking Alexandria, mais j’ai trouvé dans ce nouvel album mon compte, c’est pourquoi je l’ajoute à cette liste 2023.

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88 — The Reytons – What’s Rock and Roll?

Vous cherchiez des héritiers aux Arctic Monkeys des débuts ?

Le groupe indie rock britannique The Reytons, originaire de Rotherham, confirme son talent avec leur deuxième album « What’s Rock And Roll ». Lancé en 2023, cet album mélange énergie débordante et influences claires. Jonny Yerrell et ses coéquipiers offrent une série de morceaux entraînants et énergiques, allant de l’urgence rock à des moments plus émotionnels. Avec « What’s Rock And Roll », The Reytons s’imposent comme les dignes successeurs de la scène rock britannique et ça fait du bien bordel !

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87 — Grande Royale – Welcome to Grime Town

Trouvé au hasard de mes pêches miraculeuses sonores cette année, j’ai pris pas mal de plaisir à écouter cet album de Grande Royale. Avec leur nouvel album « Welcome To Grime Town » ils confirment leur montée en puissance dans le rock scandinave. Mélangeant hard rock, action rock (miam) et harmonies vocales, l’album se distingue par son énergie et sa créativité. Les morceaux comme « Tell Me » et « Status Doom » révèlent un son enjoué et nerveux, tandis que « Run Officer Run » et « Utopia » ajoutent une dimension mélodique. Ce disque, si simple soit-il, reste prometteur et donne envie d’encore plus.

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86 — Ashnikko – WEEDKILLER

Découvrir des univers déchus, c’est ce que propose Ashnikko avec ce Weedkiller que j’attendais avec impatience. Ce premier album tantôt électro, tantôt trap-metal / EBM / Indus-pop nous plonge dans un monde post-apocalyptique et magique. L’album, comprenant le single « Worms », est co-produit par Slinger et Oscar Scheller, aborde une civilisation dévastée par des machines. Ashnikko, incarnant une fée devenue mi-machine, cherche à se venger. Inspiré d’une nouvelle qu’elle a écrite, l’album traite du réchauffement climatique, de la catastrophe environnementale et de l’évolution rapide de la technologie. Ça passe très bien et on y revient souvent. Un très bon album.

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85 — Gallus – We Don’t Like The People We’ve Become

« We Don’t Like The People We’ve Become » de Gallus mêle indie-punk et autodérision, un album donc complétement fait pour moi. Ce premier album sur la vie d’un jeune adulte de la classe ouvrière, explore avec humour et riffs punk les complexités de l’âge adulte dans la société actuelle. Le morceau « Fruit Flies » se distingue par ses mélodies guitare en mode reverb et son chaos sous-jacent. Dans un mélange de frustration et acceptation de soi, Gallus offre une écoute amère-douce et non pas aigre-douce comme la sauce qui n’a absolument aucun rapport avec la choucroute, rappelant qu’il est parfois bon de rire de ses propres frustrations.

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84 — Heart of a Coward – This place only brings death

Accrochez-vous, ça va secouer !

Dans « This Place Only Brings Death », on découvre un mélange audacieux de métalcore et d’électronique, donnant une touche industrielle tranchante. Ce n’est pas un album pour les timides : ici, les mélodies sont rares, émergent brièvement, puis sont submergées par une lourdeur implacable. Une bonne grosse vague noire dans ta gueule ! Chaque morceau, de « Devour Me » à « All Life is Finite », est une démonstration de force, un peu comme un combat de boxe avec des gants en plomb. Et ça, ça pique.

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83 — Mass Hysteria – Tenace, Pt.2

La seconde partie de « Tenace », le dixième album de Mass Hysteria, célèbre leur 30ème anniversaire avec une énergie toujours aussi présente et forte. Contrairement au premier volet plus expérimental, cette suite accentue l’immédiateté avec des titres comme “L’Inversion des pôles” et “Washington décès”, promettant encore une expérience intense en live. Car oui, tout d’abord, Mass, ça se vit dans une fosse en fusion. Avec des pauses comme dans “L’air bien”, cette moitié d’album capte l’essence de Mass Hysteria, toujours aussi dynamique après trois décennies de feu dans le cerveau.

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82 —  Dying Wish – Symptoms of Survival

Avec leur nouvel album « Symptoms Of Survival », qui allie avec succès mélodie et intensité, Dying Wish marque une évolution naturelle depuis « Fragments Of A Bitter Memory ». Le groupe d’Oregon intègre des riffs sauvages et accrocheurs appuyés par les performances vocales d’Emma Boster (prenez un peu de miel madame, si si je vous jure), tout en conservant une lourdeur écrasante. Les thèmes abordés, allant des traumatismes personnels aux problèmes sociaux, témoignent de leur authenticité. L’album offre une expérience à la fois brutale et mélodieuse, affirmant le statut croissant de Dying Wish dans le metalcore. Un groupe à surveiller de près je vous le dis !

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81 — DOMKRAFT – Sonic Moons

Le quatrième album de Domkraft, « Sonic Moons », marque une évolution majeure pour le groupe. Mélangeant métal psychédélique et sludge, l’album explore divers aspects avec un certain minimalisme hypnotique mélangé à une dose d’énergie hyper intense. Sonic Moons est si captivant qu’il m’a fait voyager plus d’une fois sur ma chaise de bureau. Avec des basses puissantes, des batteries tonitruantes et des guitares incisives, l’album culmine avec « The Big Chill ». Désormais un incontournable pour les amateurs de sludge psychédélique (enfin selon moi hein, c’est pas un ordre les gars hein).

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Voici donc la conclusion de cette seconde sélection des 100 albums de 2023, classés de la 90e à la 81e place ! Restez attentifs au blog et à mes réseaux sociaux pour découvrir les prochains articles jusqu’au dévoilement tant attendu du top 10 ultime de cette année !

N’oubliez pas de partager, bisous câlins toussa toussa !